Asphodèle en poudre

I wanna explode
Watch me, I'm a lucky girl
See I, I like you
So won't you pay
if you wanna go down

I love to watch you, honey
You need me so let's see
What do you care, if you want to
You should pay if you wanna go

Don't walk away
Don't walk away love
Don't walk away
Don't walk away love

I wanna touch you, slowly
I'm a lonely girl
Come on you want to
So won't you pay
if you want to go

I'd love to hurt you, easy
I've got you, inside me
What do you care, if you want to
You should pay
if you wanna go

Don't walk away
Don't walk away love
Don't walk away
Just stay right here

(Why don't you pay if you wanna go)
(You got to pay if you want some more)
(Why don't you pay if you wanna go)
(You got to pay if you want some more)
Don't walk away
(Why don't you pay if you wanna go)
Don't walk away
(You got to pay if you want some more)
Don't walk away
(Why don't you pay if you wanna go)
Just stay right here
(You got to pay if you want some more)

Uh huh her - Explode

Lui : Ma chérie, pourquoi tu as Anaïs Nin comme livre de chevet?

[silence]

Moi : Mais parce que... je m'intéresse à toutes les sortes de littératures mon amour!

"La délinquance ne procède que très rarement de la souffrance sociale, mais simplement de l'attrait de l'argent facile."

Ca laisse pensif...

(Faut-il rajouter qu'en plus la phrase est grammaticalement incorrecte? En même temps, pour un président qui s'exprime en langage texto, je sais pas s' il faut attendre mieux)

Le blues du bonheur

Ca y est, le climax est passé. Je suis la femme de ta vie, c'est toi qui me l'a dit hier soir, alors que j'étais tranquillement en train de jouir à l'idée de m'endormir dans tes bras.
Je suppose que tout ce qu'il nous reste à faire, c'est faire route ensemble, durant un temps illimité...
Plus d'inquiétudes, plus de spasmes amoureux, l'eau est calme, nos sentiments sont fermes comme le granit. Granit rose ou gris d'ailleurs? Là est la question.
On ne court plus l'un vers l'autre, on marche. L'as-tu seulement remarqué?
Je n'ai pas envie que tu me racontes ta journée. Non, je n'ai pas envie. Entendre ta voix, oui, à la limite. Oui tout court en fait, oui, parle-moi, mais parle-moi de la vie des indiens de papouasie, de la colonie de fourmis qui tente d'envahir saturne, d'un ailleurs possible où aller passer nos vieux jours, mais pas de ta journée parisienne, une parmi d'autres, une journée juchée entre nos calmes étreintes du matin et la tiédeur de nos baisers du soir.

Le temps met-il l'amour par terre?